1. |
je l'ai vue en rêve
03:27
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VERSE 1
escorté par les oiseaux de lune
la voie des songes est remplie d'imprévus
j'ai voulu m'excuser tu ne m'as pas entendu
la nuit ne fait pas de trêve aux blessures
CHORUS
j'l’ai vue en rêve
elle s’est manifestée dans un profond sommeil
j'l’ai vu en rêve
et son image m'échappe égale au vent léger
VERSE 2
le jour peuple sa nuit d'images
de chimères que nous créons nous-même
par incubation le mythe rempli la pièce
il passe, s'envole, un battement d'aile
la mémoire s'endort le sommeil la réveille
j'l’ai vue en rêve comme si de rien n'était
ça fait pourtant plus de cinq étés
des âmes vagabondes au réseau connecté
CHORUS
j'l’ai vue en rêve
elle s’est manifestée dans un profond sommeil
j'l’ai vue en rêve
et son image m'échappe égale au vent léger
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2. |
ciel
03:20
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CHORUS
Je vois des formes dans la nuée, des histoires que des histoires,
les oiseaux m'ont indiqué l'évidente vanité de nos espoirs
VERSE 1
La musique du ciel est en marche, résonne au-delà des langages l'humeur du ciel est instable, je la serre fort, l'embrasse
à la forge, sculpter l'âme jusqu'à la nuit
à l'ennui, du bois au papier, au poids qui le plie
à l'envers, j'interprète les mots incompris
j'intercepte dans les yeux les cœurs attendris
BRIDGE
depuis mon quinze mètres carré
le ciel est de toute beauté
CHORUS
Je vois des formes dans la nuée, des histoires que des histoires,
les oiseaux m'ont indiqué l'évidente vanité de nos espoirs
VERSE 2
Je chante le mouvement de la lune, je chante ce qu'écrit la romance
je sens les parfums de la rue, j'entends ce que murmure la déviance
je vole, quand l'aerocene vole
le ciel, sature et se révolte
le terrain me porte, j'en ai des vertiges
mais je persiste, encore et encore
CHORUS
Je vois des formes dans la nuée, des histoires que des histoires
les oiseaux m'ont indiqué l'évidente vanité de nos espoirs
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3. |
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VERSE 1
le soleil brille pour tous
on fait naufrage partout
j’ai perçu ta voix trouble
je n’ai pas su quoi dire
Le sol vibre, les mains tremblent
Ils faut le vivre, maintenant
sous un ciel gris écrasant
un silence éclatant
une bulle dans les bruits de la ville
les voitures défilent comme avant
la curiosité des passants
pourtant c’est l’absence qu’on ressent
sa branle dans le manche,
sa enchaîne les cigarettes,
les yeux dans le vide
tous les signaux disparaissent
CHORUS
toute la pluie
tombent au même endroit
au même endroit
VERSE 2
un écran de fumée
un avant et après
la détresse à penser
pensons-nous immortels
derrière les visages fermés
derrière les sourires fragiles
la fébrilité
dans la poussière des villes
le frère, l’enfant, la mère
le verre brisé, le plastique à la mer
le goût amer, le flot soulevé
quand ce que l’on fuit apparaît sous le nez
CHORUS
toute la pluie
tombent au même endroit
au même endroit
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4. |
derrière les nuages
05:35
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CHORUS
Du lierre dans les ruines,
On ne s’arrête pas.
Les alarmes suspendues
Ça ne s’arrête pas.
Les ondes coulent doucement
On ne s’arrête pas.
Entre deux écrans,
Non ça ne s’arrête pas.
VERSE 1
A pourchasser les nuages
Pour rafraîchir les déserts
Les yeux fermés je dessine
Le jour naissant sur la grève
A nos songes, au-dessus des ondes
A nos heures bleues, à nos sauts par-dessus les ombres
Aux fondations, aux sols inondés
Un palais ambulant, pour tous les mots envolés
CHORUS
Du lierre dans les ruines,
On ne s’arrête pas.
Les alarmes suspendues
Ça ne s’arrête pas.
Les ondes coulent doucement
On ne s’arrête pas.
Entre deux écrans,
Non ça ne s’arrête pas.
VERSE 2
Soudain le vent nous entraîne
Là-bas où vivent nos histoires
Initié aux mystères
Ivre, au milieu des bois
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5. |
comme le cerf-volant
03:03
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VERSE1
Un soutien sans faille
à en devenir meilleur
on tient les remparts
tour à tour les veilleurs
la fenêtre entrouverte
pour éloigner l'orgueil
sous un ciel couvert
on ne peut se faire seul
on veut ce que nos sœurs veulent
quand ça passe par les yeux
de la rivière au fleuve
conjuguer les enjeux
VERSE 2
Nos convictions s’accordent entre elles
L’harmonie sur un fil tendu
On n’peut s’offrir que la tendresse
Nos sorts à la ville suspendus
Ensemble sur la contre-allée
Je n’crains rien en sa présence
Partout je rentre comme accompagné
Armé de nos pas de danse
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6. |
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CHORUS
des vertiges, des mirages, des embuches,
des angoisses alternées.
des lueurs infinies mais si rares,
entre les plans saccadés.
le bruit des graviers soulevés
sous la pluie, des départs, des arrivées.
VERSE1
des montgolfières, des sachets vides,
mort d’un insecte, naissance d’un satellite
le réseau saturé, et ça s'effrite,
la ville sans limite, s’étend au champs de blés.
en file indienne, en masse informe
sourire formel, fragments de corps.
CHORUS
des vertiges, des mirages, des embuches,
des angoisses alternées.
des lueurs infinies mais si rares,
entre les plans saccadés.
le bruit des graviers soulevés
sous la pluie, des départs, des arrivées.
VERSE2
des portes fermées aux vallée sans portes
asphyxié je rejoins tout c'que l'air transporte
regrets troublants, efforts lâchés
derrière le champs de fleurs les déchets entassés.
Il faut son temps
pour le comprendre
mais tous ces gens
manquent de tendresse.
CHORUS
des vertiges, des mirages, des embuches,
des angoisses alternées.
des lueurs infinies mais si rares,
entre les plans saccadés.
le bruit des graviers soulevés
sous la pluie, des départs, des arrivées.
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